Morges, c’est d’abord un château en forme de carré, un marché qui a lieu dans la Grand-rue deux fois part semaine et des promenades au bord du lac en regardant les bateaux et, par beau temps, on peut même apercevoir le roi des Alpes, le majestueux Mont-Blanc, visible de l’autre côté du Léman, dans les Alpes françaises.
Mais c’est aussi des souvenirs de périodes révolues et des personnalités, dont vous avez peut-être entendu déjà parler, qui ont marqué l’histoire de Morges, de la Suisse, et parfois même l’Histoire tout court.
Mais notre petite ville doit aussi son atmosphère aux commerçants et aux bénévoles, qui donnent à cet endroit une âme, et des événements qui rassemblent, parfois bien au-delà de notre magnifique canton de Vaud. C’est aussi la campagne et la vigne, la forêt, des bateaux et de trains.
Pendant longtemps, Morges, la Coquette est restée discrète et n’a pas beaucoup mis ses trésors en avant, hormis peut-être « la Fête de la tulipe » qui prend place principalement dans le parc de l’indépendance au printemps.
Si Morges était un tableau, il changerait au fil des saisons, des mois et même des jours. La ville ne donne jamais la même image d’elle-même. Tout dépend du soleil, des nuages, du vent et de la pluie et des yeux avec lesquels on la regarde.
Mes yeux à moi sont ceux d’une petite fille qui y a grandit et qui y voit maintenant grandir ses enfants. Des enfants à qui je m’applique à raconter des histoires de « comment c’était avant », pour que mon amour de la région où j’ai passé mon enfance et ma passion pour son histoire deviennent aussi un peu les leurs. Et peut-être un peu les vôtres aussi.
Laisser un commentaire